Bonsoir Marie-Noëlle,
Je te comprends, nous n'avons pas été choyés non plus du côté de nos chats ?
Je m'étais bien juré ne plus jamais en reprendre après la mort de notre dernier, mais mon épouse (et moi) ne savons pas vivre sans et nous avons élevé quatre petits dont la mère (une chatte sauvage) était venue les mettre au monde derrière mon abri de jardin, impossible de les approcher ou alors il aurait fallu démonter tout l'abri de jardin, et la mère, malgré que mon épouse la nourrissait était inapprochable, elle frappait la main qui la nourrissait, incroyable, mais le plus incroyable, c'est que nous étions en Octobre et le temps avait rafraîchit très fort, quel ne fut pas notre étonnement de voir un jour la mère rentrer par la porte fenêtre de la cuisine avec un jeune dans sa gueule, comme si elle avait toujours fait partie de la maison, interloqué, nous l'avons laisser faire, elle est montée les escaliers qu’elle ne connaissait pas et est allée déposer le petit dans le fond de la garde robe entrouverte, puis, elle a fait la même chose avec les trois autres, inutiles de te dire que nous n'avons pas eu le courage de la chasser et plus incroyable encore, depuis cet instant, cette chatte est devenue la plus amitieuse du monde, on croit rêver, non...
Malheureusement un des quatre petits avait une malformation et nous avons du le faire piquer et comble de malchance, alors que les petits n'étaient pas encore sevrés, une semaine plus tard, nous avons retrouvé la mère empoisonnée sous le banc au bout de la cour.
Mon épouse a alors continuer à élever les petits avec un biberon d'enfant, je ne te dis pas ce qu’ils sont pot de colle maintenant.
Ce n'est pas tout, voici quelques mois, un beau chat noir et blanc d'environ un an est arrivé pleurer à la porte, évidemment, nous l'avons nourrit pendant une semaine à l'extérieur, puis mon épouse aidant, il st rentré et bien sur n'est plus sorti.
Quelque jours plus tard, c'est vrai que nous le trouvions inhabituellement calme, tout à coup, il s'est couché sur le flanc et ne bougeait plus affolés nous avons appelé le vétérinaire qui lui à fait une piqure, et une prise e sang, il s'est remit debout vaille que vaille, mais restait toujours couché sur une chaise.
Quelques jours plus tard le vétérinaire est venu avec les résultats de la prise de sang et cette pauvre bête souffrait d'un souffle au coeur.
Est ce la raison pour laquelle on l'avait perdu dans notre jardin ?
Le vétérinaire lui a donné un médicament à prendre tous les jours, depuis il s'est super bien retapé et on regrette parfois le temps où on le trouvait trop calme mais enfin, il nous le rend bien aussi.
Dernière anecdote, comme nous avions décidé de le garder, c'était un mâle d'après ma femme, nous avons décidé de le faire castrer, le vétérinaire est venu, il l'a empoté chez lui pour l'opérer et trois quart d'heure plus tard, il nous le ramenait, étonnée, ma femme lui dit, c'est déjà fini, en riant, le vétérinaire un peu gêné nous répond : j'aurais peut être du regarder ici, mais votre chat il est déjà castré, oufti, quelles péripéties, donc maintenant, nous en avons de nouveau quatre, des amours.
Désolé d'avoir été un peu long !
é1000
